Auteurs de concerts acharnés qui étourdissent leur public de Tokyo à Austin, les Toulousains de Kap Bambino livrent aujourd’hui un disque d’électro-choc possédée qui fait de leur Blacklist un manifeste de géniale inhumanité.
« Ça peut paraître cliché », dit Caroline en souriant, « mais tout ce qu’on fait, on le fait comme si c’était la dernière fois. Chaque concert, le dernier. Chaque morceau qu’on enregistre, pareil. Chaque avion qu’on prend, on part du principe qu’il s’écrasera. Je pense que c’est ce qui fait la spécificité de notre musique »