Yeahman « Ostriconi » | sélection Campus France


Radio Campus France saisi l’opportunité d’ajouter à sa sélection le premier album du multi-instrumentiste toulousain Jean Dasso alias YEAHMAN. Avec « Ostriconi », le jeune Yeahman devient la premiere signature française du label new-yorkais Wonderwheel. Avec ce premier album, on vous garanti de lancer une nouvelle année sur une touche d’onirisme et d’évasion. On en a tou.t.e.s bien besoin !

Un titre en avant première

Radio Campus France · [PREMIERE] Yeahman | Ouloullou (ft. Omar Zidia)

Un retour aux sources, dans un album

L’album nous emmène vers la vallée de l’Ostriconi en Corse, à travers ses 9 titres mélodieux. Les auditeurs sont transportés sur les rives luxuriantes et pittoresques de la rivière éponyme de la vallée. Sur Ostriconi, la beauté et la tranquillité parfois surréalistes de la région sont recréées de manière sonore par Yeahman et ses collaborateurs. L’album nous guide à travers un voyage mélancolique des montagnes mystiques à la mer vibrante, nous donnant l’impression qu’un monde diversifié et en pleine expansion se trouve à nos pieds.

Un album chargé de techniques multiculturelles

L’enregistrement et la production de l’album sont le produit de la vision artistique singulière de Dasso. Ils donnent une forme musicale aux alliances artistiques qu’il a nouées entre Toulouse, Dakar, Naples et Marseille. Yeahman partage son premier opus comme une sorte d’invitation à nous retrouver dans un monde endormi, où nous aspirons tous encore à ce que les flammes du dancefloor se ravivent. Le magnifique et langoureux D’entrée « Deelalhli » marque le départ d’un voyage rythmé aux mélodies vives et donne le ton qui va être exploré à travers le reste de l’album. S’ensuit une ode à la nature avec « Baixi Baixi » avant que « Soupe Feu » ne nous ramène aux racines de Yeahman dans un titre dancefloor percussif et créé à base de samples. Le single principal « Sakoneta » élève le tempo avant que « Ouloullou » et « Sueño Contigo » ne nous ramènent lentement sur terre, un passage qui culmine bien avec l’introspectif et palpitant « GLI-F4 ». Mina Shankha, Hajna et Yeahman unissent ensuite leurs forces pour relooker un classique de la cumbia péruvienne « Cariñito ». L’album se termine sur « Lecce74 » avec El Buho, cette dernière chanson est une ode mélancolique qui nous renvoie à la réalité et met un bel arc sur le voyage électrique qu’est Ostriconi.

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